Ces personnages n’ont ni le même âge ni la même culture mais ils partagent un intérêt commun pour les jardins publics, au cœur de leur banlieue. Ils ont le même élan vers leurs semblables, d’où qu’ils viennent. Ce sont des solitaires… assoiffés de collectif.
Le parc au centre de la ville est leur décor. Il est un carrefour vivant, vibrant au milieu d’un monde citadin, berceau des rêves de chacun, il accueille et protège. Ils y viennent, y reviennent, y rencontrent les autres. Le texte résonne autant à l’intérieur qu’à l’extérieur, lorsque le vent et les feuilles des arbres nous accompagnent.